Monter l’arbre …
Pour monter dans l’Arbre, il nous faut une échelle ; et les barreaux de l’échelle, ce sont les générations ; chaque barreau permet d’atteindre un rameau sur chaque branche maitresse (4 branches maitresses, père et mère du coté paternel, père et mère du coté maternel)… un rameau par génération.
Et sur chaque rameau, des feuilles, des individus, des aïeux.
La montée peut se faire de différente manière : par génération, par individu ou groupe d’individu… par thème aussi…
Par génération, seront surtout décrits des contextes, des lieux, des événements ou les impacts d’événements nationaux sur la vie et les lieux de vie de nos aïeux.
Par individu, lorsque c’est possible, sera établi une fiche individuelle qui donnera l’identité, les dates de naissance, de mariage et de décès, également le numéro SOSA, (situation de l’individu par rapport à l’individu-pivot) . Cette fiche reprendra enfin, les évènements marquants de l’individu, lorsqu’ils sont connus.
Il y a parfois des ‘continuités de vie’, des choix d’un ainé qui ont conditionnés la vie de cadets ; ces choix, ces destinées liées seront décrits dans des fiches de groupe.

– Une règle en généalogie, ne pas communiquer d’information de moins de ‘75 ans à compter de la date du document ou du document le plus récent du dossier ou 100 ans si l’intéressé est un mineur, ou 25 ans à compter du décès de l’intéressé‘ (sources ‘ministère’) ; aussi les deux premières générations de mon arbre ne seront pas documentées, juste citée dans les grandes lignes.
Le travail communiqué commencera donc véritablement à la 3° génération ; celle de mes grand-parents
– Un point sur la notion SOSA . Qu’est-ce qu’un SOSA ? C’est une numérotation des ancêtres, très couramment utilisée pour une généalogie ascendante : la numérotation part de la personne-pivot dont on fait l’ascendance, (appelé « de cujus »), qui porte le numéro 1
Son père porte le numéro 2 et sa mère le numéro 3
Le numéro 4 est son grand-père paternel, le numéro 5 sa grand-mère paternelle, le numéro 6 son grand-père maternel et le numéro 7 sa grand-mère maternelle.
Et ainsi de suite…
Un chiffre pair désigne toujours un homme, un chiffre impair une femme… (sauf bien sur si cette femme est celle pour qui on fait l’arbre, le ‘de-cujus’ ; elle portera alors le numéro 1) .
Le numéro d’un père est le double de celui de son enfant
Le numéro d’une mère est le double de celui de son enfant, plus un.



La Vie des Gens
Nos aïeux ont parfois eu des parcours communs ; ont été témoins ou acteurs d’événements locaux ou nationaux ; ont eu des fonctions, des professions qui ont évoluées, voire disparues aujourd’hui ; ces destinées communes seront évoquées par grand thème.
Il y a matière aujourd’hui à nourrir déjà quelques thèmes :
‘Nos Héros’, :
Il s’agira d’identifier des piliers de la famille ; et raconter d’un point de vu global, les incidences de choix de vie sur l’évolution de la famille au sens large
‘Les têtes qui dépassent’,
Faire un zoom sur les destins particuliers de deux/trois ‘têtes’ qui sortent du lot (complémentaire de la rubrique ‘Nos Héros’)
‘Nom de nom, nom de Femmes’ :
Identifier dans l’arbre, les noms des femmes qui ont marqué une branche : les Thébaut, les Saint-Loup, les Godard, les Saulnier
‘Du Celte ! ’,
Raconter la rencontre des Celtes et autres Wiking dans notre arbre !
‘Les aristos’ ,
Au même titre que la rubrique des ‘Celtes’ raconter les aristos et voir comme ils s’accrochent dans notre arbre !
‘Dans la tourmente’,
Raconter le cas particulier de nos familles dans les épisodes d’Histoire : les Révolutions, la guerre de 1870-1871, la Grande Guerre, la Résistance, la décolonisation, etc…
‘Les temps durs’ :
Décrire les chemins de difficulté de certaines branches de l’arbre, (famine, exil, déracinement…)
‘les petits anges’…
Point vue global sur la mortalité infantile dans notre arbre… et quelques histoires particulières

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